Gabriela Maj, Promotion 1999, Lauréate 2016 du prix des anciens élèves
« À TFS, on se concentre sur le travail assidu et la réussite ; le programme d’études, novateur et intégré, a établi des assises solides qui me servent à chaque étape de ma vie. »
Lorsque Gabriela Maj reçut son premier appareil photo à l’âge de sept ans, elle ignorait que le cadeau de son père allait lancer sa carrière dans la photographie, l’amenant à vivre des aventures à la fois excitantes et dangereuses. « Je suis tombée amoureuse de la photographie à TFS », confie-t-elle. « La liberté de création était essentielle à ma carrière de photographe et l’encouragement de mes enseignantes d’art, Mme Stewart et Mme Markovic, s’est avéré inestimable. » Son souvenir le plus précieux ? Celui de sa première exposition de photos lors du vernissage du Niveau V.
C’est à New York que tout a commencé professionnellement pour Gabriela Maj. C’est là en effet que cette diplômée de Columbia a publié sa première photographie, qu’elle a présenté sa première exposition en galerie et qu’elle a décroché son premier emploi de photographe. Au fil des ans, les photos magnifiques réalisées par Gabriela Maj ont paru dans de nombreuses publications prestigieuses. En 2008, elle s’installe à Dubaï pour des missions au Moyen-Orient, un déménagement qu’elle décrit comme un saut dans l’inconnu. Ce saut a changé sa vie.
En reportage à Badam Bagh, « le Jardin des amandiers », la tristement célèbre prison pour femmes en Afghanistan, elle a été attirée par une autre histoire qui ne pouvait qu’être racontée. Le Jardin des amandiers : portraits tirés des prisons pour femmes en Afghanistan n’était pas programmé. « Le projet m’a trouvée », explique Gabriela Maj. Elle passera les quatre années suivantes à faire minutieusement de superbes portraits émouvants de femmes incarcérées pour crimes contre la moralité. Lorsque son livre a été publié l’année dernière et qu’il a fait l’objet de critiques élogieuses, l’attention médiatique qu’il a reçue a suscité une prise de conscience internationale. De plus, ce livre a été sélectionné par le magazine Time comme l’un des meilleurs livres de photographie de 2015. Il est désormais utilisé par les organismes qui militent pour les droits des femmes en Afghanistan.
La défense de l’égalité des sexes sera toujours importante pour Gabriela Maj et, par son projet de livre, elle soutient Women for Afghan Women, une organisation non gouvernementale de défense des droits des femmes. « Les relations que j’ai tissées avec ces femmes m’ont motivée. Ce livre m’est très cher. »
Cette photographe courageuse et talentueuse continue de repousser les frontières et de s’investir dans de nouvelles expériences. Honorée d’être la lauréate du prix de distinction des anciens élèves de cette année, elle offre ces mots de sagesse aux élèves de TFS : « Travaillez aussi fort que possible. Votre éducation façonnera le reste de votre vie. »
En reportage à Badam Bagh, « le Jardin des amandiers », la tristement célèbre prison pour femmes en Afghanistan, elle a été attirée par une autre histoire qui ne pouvait qu’être racontée. Le Jardin des amandiers : portraits tirés des prisons pour femmes en Afghanistan n’était pas programmé. « Le projet m’a trouvée », explique Gabriela Maj. Elle passera les quatre années suivantes à faire minutieusement de superbes portraits émouvants de femmes incarcérées pour crimes contre la moralité. Lorsque son livre a été publié l’année dernière et qu’il a fait l’objet de critiques élogieuses, l’attention médiatique qu’il a reçue a suscité une prise de conscience internationale. De plus, ce livre a été sélectionné par le magazine Time comme l’un des meilleurs livres de photographie de 2015. Il est désormais utilisé par les organismes qui militent pour les droits des femmes en Afghanistan.
La défense de l’égalité des sexes sera toujours importante pour Gabriela Maj et, par son projet de livre, elle soutient Women for Afghan Women, une organisation non gouvernementale de défense des droits des femmes. « Les relations que j’ai tissées avec ces femmes m’ont motivée. Ce livre m’est très cher. »
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